Oui, ces fours à douleur, se sont reproduits partout. Près de Caen, une usine de metallos, jusqu'à 10000 ouvriers dans la première moitié du XIX ème siècle. Il y a une dizaine d'années, les quelques milliers restants, ce n'est pas rien, balayés avec l'arasement de l'usine. Subsistent sur le site, un grand réfrigèrent et un bâtiment dont les murs sont devenu le domaine de taggers qui se bouffent entre eux, la place où faire exploser leurs couleurs. Des cris de révolte, il n'y en a plus. Le temps a tout effacé, sauf dans les cœurs.
Hello Patrick, this is a very interesting series of ruines and graffity art. Have you done them all? Greetings from Luzia.
RépondreSupprimerThanks !!... I picture Luzia .... only photos
RépondreSupprimerHugs
excellent composition!! i like!
RépondreSupprimerThanks Costea
RépondreSupprimerGosto do seu blog de grafismo, então, te segui. Parabéns, visitarei por aqui.
RépondreSupprimer# Obrigada Mi tanto
RépondreSupprimerUN petit bonjour ici aujourd'hui
RépondreSupprimerBISOU
Oui, ces fours à douleur, se sont reproduits partout. Près de Caen, une usine de metallos, jusqu'à 10000 ouvriers dans la première moitié du XIX ème siècle. Il y a une dizaine d'années, les quelques milliers restants, ce n'est pas rien, balayés avec l'arasement de l'usine. Subsistent sur le site, un grand réfrigèrent et un bâtiment dont les murs sont devenu le domaine de taggers qui se bouffent entre eux, la place où faire exploser leurs couleurs. Des cris de révolte, il n'y en a plus. Le temps a tout effacé, sauf dans les cœurs.
RépondreSupprimerRoger